RAVALC

Je regardais un film italien, je sais ça vient ici comme un cheveu dans la soupe d'un chauve... Mais c'est un film que j'aime, triste; des vies qui se brisent. Une famille unie en apparence qui va souffrir la perte de l'un d'eux, chacun de son côté. Parce que finalement cet unisson n'était qu'une vitrine avant la rencontre avec son pavé de 68. Tu ne piges rien à ce que je dis, pas grave, je me comprends. Des fois le monde c'est ça, quelqu'un qui se comprend... Pis du film, très proche de moi, rien qu'à cause de cette ambiance ritale, j'ai dérapé sur moi-même. Le parallèle était évident... Alors, je pensais à moi, pas parfait, mais je m'aime bien quand même parce que sous ma carapace de Lévrier afghan, je sais que ce corps à souffert, comme cette planète. Nous y voici. Le parallèle avec la nature. Même lorsqu'à nos yeux elle n'est pas parfaite, sa souffrance est un signe de résistance. La Terre et moi, on peut dire qu'on en a vu de toutes les douleurs !


Et RAVALC ? C'est mon expression pour dire "rien à voir avec la choucroute"...

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